Pouvoir se connecter et d'avoir des compétences numériques est très important pour les réfugiées et les femmes déplacées au Cameroun, parce que cela leur permettent de communiquer et d'avoir d'autres connaissances en dehors de ce que l'on pourrait prendre de bouche à oreille.

Cela ouvre les esprits en réalité.

Assale Francoise, participante de SCE

Certaines d'entre nous n'allaient pas à l'école, nous étions à la maison, surtout moi. Je travaillais à la maison. C'était donc très difficile pour moi.  Je  n'allais pas à l'école. Je devais rester a la maison toute la journée. 

Dieu merci pour le projet Second Chance. On nous a donné l'opportunité d'aller apprendre quelque chose. 

Participante de SCE, Bertoua

Avec ce travail, je prendrai soin de moi et même de mes parents.

Je pense aussi que plus tard, quand je me marierai, ce travail me permettra de contribuer au bien-être de ma famille.

Rejoyce Amos, participante de SCE

Les femmes fuyant la violence au Nigéria arrivent dans l'extrême nord du Cameroun sans rien. Seules, elles sont seules responsables de leurs enfants et de leurs propres besoins fondamentaux, tout en faisant face au traumatisme des expériences de vie violentes.